: Présentation réelle :- Prénom : Ieros
- Âge : 16 ans
- Ce que j’aime :
- Question musique ? : Julie Zenatti, Najoua Belizel, Zazie, Jacques Brel, Era, certains chants grégoriens, les musiques de Disney aussi... Pomme C ^^
- Et les films ? : ah, La trilogie Jurassic Park (merveilleux), Cœur de Dragon (fantastique), et tous autres films fantastiques, Harry Potter (livres seulement), Seigneur des anneaux, Matrix, les Walt Disney,...
: Présentation fictive :- Nom : Prometheus
- Prénom : Ieros
- Age ou tranche d'âge : la vingtaine
- Sexe : masculin
- Race : Humain
- Alignement : Neutre
Caractère :Ieros semble absent, intemporel, et neutre en tout point. Cependant, jamais il ne laisse passer la moindre information, il analyse tout événement, qu'il soit officiel ou de rue, important ou moindre.
Aussi vif que le dragon, il réagit instinctivement. De nature impassible, il cache au fond de son cœur une grande tristesse qu'il s'efforce de garder secrète, qu'il remplacera par un semblant de joie, ce qui ne l'empêche pas de l'être réellement de temps à autres.
Sa tristesse lui vient d'une perte immense qu'il connu il y a de là plusieurs printemps. Qui depuis, jamais réelle joie n'eut-il découvert plus grande qu'autrefois. Il ressent cependant un sentiment de protection au-dessus de lui, qui veille sur la route qu'il emprunte, et empruntera. Il vit au jour le jour, sans se soucier du futur, mais plongé dans le passé qui, pour lui, cache tous les secrets et toutes les réponses à ce futur.
Certains disent que le futur est le résultat du présent, mais toutes fondations à besoin de plus qu'un architecte, il lui faut une base, un terrain : le passé est ce terrain, le présent construit le futur fondé sur le passé.
Physique :Ieros a des cheveux qui semblent s’éclaircir d’un sombre châtain sous les rayons du Soleil. Si l’on s’en approche, on remarquera d’avantage la peau qui, habituée au Soleil, reste d’un cuivré continuel. On en profitera également pour observer ses fins et perçants yeux d’un sombre marron clair et sa bouche sérieuse. Lorsque l’on le regarde de plus loin, une musculature assez imposante prouve l’agilité subtile et dosée d’Ieros, ses bras paraissent alors avoir l’habitude particulière de porter des armes assez lourde comme sa paire d’armes favorites : deux immenses sabres qu’il pare à chaque fois qu’un combat s’offre à lui.
Fier, il porte une simple armure légère qui n’entrave en aucun cas ses mouvements. Ses avant-bras aussi sont recouverts d’une plaque de métal fin aux nombreux filets d’or et de bronze. A leur extrémité, une unique lanière de cuir protège le poigné, la paume et la main, laissant ainsi une totale liberté d’action de ses doigts étrangement doux et sensibles. Par-dessus, il ajoute une cape de soie beige aux reflets blancs qui le protège des vents chauds ou froids, des intempéries et des tempêtes de sable ou autre. Au-dessus de sa tête, il dispose, en soie identique, un tissu qu’il arrange en turban pour les attaques incessantes du Soleil.
Il se porte constamment droit, pour lui, seule preuve d’une réelle dignité et d’un unique courage face à l’ennemi qui accourt.
Histoire :Ieros Prometheus connu la vie un froid jour d’hiver ; fils d’un noble couple aimant l’archéologie. Tous les trois connurent plusieurs gentes années.
Comme tous bons nobles, Ieros dût réaliser ses classes d’armes en quelques prestes années. Mais alors qu’il rentrait par matin, ce fût sous l’horreur qu’il découvrît les corps de sa famille. Le pauvre garçon fut alors recueillit par des amis de ses parents, archéologues également. Il suivit donc l’exemple de sa famille et de leurs amis. Cependant, depuis le jour d’hui, il ne retrouva jamais plus sa joie d’antan malgré qu’il cacha sa tristesse derrière un large sourire.
Un soir, alors qu’il fouillait les catacombes d’un ancien temple, il découvrit une entrée qui ne figurait sur aucun plan. Curieux, il s'y engouffra. La chaleur se faisait plus présente et la lumière plus éblouissante. C'est alors qu'il posa son regard sur une stèle en marbre noir. La sombre dalle, dans ses moindres reliefs, dessinait un dragon. Attiré, émerveillé, Ieros ne put s’empêcher de caresser cette splendeur. Sa main frôla la douce pierre qui se réchauffa. Le noir régna sans répit avant de laisser place à une nouvelle lumière encore plus puissante, mais toujours douce et apaisante. Les ténèbres régnèrent une dernière fois.
A son réveil, Ieros ouvrit les yeux dans un hospice. Les archéologues qui se penchaient au-dessus de son corps intact lui indiquèrent la pièce dans laquelle il avait été retrouvé. Le damoiseau se rappela alors de cette lumière, de ce dragon ; c’est pourquoi il n’en cru pas ses oreilles lorsqu’ils ajoutèrent qu’il était dans une pièce vide et peu éclairé des catacombes du temple. Voulant en découvrir d’avantage, il retourna sur les lieux de l’événement. Mais à leur arrivé, les ruines, et toutes traces qui s’en résultaient, aussi bien naturelles ou humaines, avaient disparues.
Les mois passèrent, Ieros poursuivit de nombreuses fouilles en solitaire. Il espérait, à chaque découverte, en découvrir plus sur ce temple, et sur cette stèle. Même si cela s’était passé relativement vite, il gardait une trace dessinée dans sa mémoire. Il avait même recopié les gravures de cette pierre sur une feuille, jusqu’au plus infimes et méprisables signes. L’écriture qui y était représentée semblait inconnue à tous bons savants habiles des langues et dialectes anciens et actuels, paysans et ancestraux. Un jour, qu’il crût trouver une infime réponse, le parchemin qui représentait son unique espoir présent, prit soudainement feu alors qu’il l’étudiait. Il avait reconnu certains symboles identiques sans pouvoir les déchiffrer.
Le soir même, tous les caractères du parchemin se mélangeaient en rêve. Parmi les étranges symboles qui finirent par laisser place à un paysage sombre, un immense château surplombait une colline. Ieros se retrouvait au milieu d’un champ sacré par les nombreuses stèles disposées en rond tout autour d’un autel blanc de marbre et d’émeraudes. Des voix se firent alors entendre dans l’air glacial de la nuit. Elles récitaient des paroles en vers, une histoire, une légende. Ieros tournait sur lui-même, cherchant du regard celui ou ceux qui parlaient, mais ce fut en vain qu’il ferma ses yeux sur l’autel, concentré sur les voix qui se faisaient douces. Toutes ces-dernières se rassemblèrent alors en un seul lieu. Dans la fine brume qui s’était levée depuis peu, une silhouette gigantesque se leva devant Ieros. Bien que la gueule de l’animal ne remuât en aucun point, les voix qui provenaient du reptile répétèrent à nouveau, en harmonie, l’histoire qu’elles tentaient de lui révéler. Le dragon approcha, il fit le tour de l’autel avant de ramener sa tête près de celle d’Ieros. Un chaud souffle envahi ce-dernier, la respiration lente et apaisante du reptile calma son enthousiasme. Le dragon prononça à nouveau les doux vers tragiques :
[En écriture]
Lorsque, dans l’apocalypse des Ténèbres,
La Lumière s’avérera avoir disparu,
Et que tout espoir semblera révolu,
Des héros graveront leur nom dans le marbre.
[En écriture]
A ces mots, Ieros se retrouva dans son lit. Il tenait dans ses mains deux sabres d’un lourd métal. L’aube était déjà avancée dans la journée qui s’annonçait mais la nuit régnait encore. Il se dépêcha de ranger ces armes et s’empressa de sortir. Le ciel était couvert d’épais nuages sombres, les oiseaux étaient rares, le vent différent. Il aperçut une famille de paysans à qui il demanda pourquoi il s’en allait, bagages au dos. Le père s’empressa de répondre qu’ils s’enfuyaient vers Oalgam comme l’eurent dit les messagers tôt ce matin. Incompréhensif, Ieros retourna dans sa cabane. Il prépara de quoi reprendre la route. Il traversa la porte avant de s’arrêter. Il tourna sa tête vers le placard proche de son lit puis tourna sur lui-même. Il avança, et décida de prendre les deux armes après avoir médité sur les paroles du dragon qui ne pouvait être que songe. Il monta enfin sur un cheval blanc qui l’accompagnait depuis plusieurs mois à travers le monde en quête de réponse. A présent, surement que les réponses se retrouveraient à Oalgam, lieu de réunion de toute la nation…